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Dizeres discentes nos cursos de Direito: discursividade arquetípica, sexista, heteronormativa e homofóbica em cena
Le but de cette thèse est d'enquêter la présence éventuelle, ou non, d'une discursivité archétypique avec des caractéristiques sexiste, hétéronormatif et homophobe aux dires des étudiants de cours de Droit, ainsi que vérifier si se produit, ou non, un croisement discursif de contenu juridique de...
Autor principal: | Dropa, Romualdo Flávio |
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Idioma: | pt_BR |
Publicado em: |
2020
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Assuntos: | |
Acesso em linha: |
http://hdl.handle.net/11612/1673 |
Resumo: |
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Le but de cette thèse est d'enquêter la présence éventuelle, ou non, d'une discursivité
archétypique avec des caractéristiques sexiste, hétéronormatif et homophobe aux dires des
étudiants de cours de Droit, ainsi que vérifier si se produit, ou non, un croisement discursif de
contenu juridique de ces étudiants, au long des cinq années d'études. La problématisation de
cette recherche concerne la question de l'historicité des étudiants de cours de Droit et la
présence, ou non, d’une discursivité préjugée, à partir d'un biais religieux, de manière que ce
soit possible de comprendre si la religiosité des étudiants a interféré dans son historicité et dans
sa prise de position idéologique. Ce sera aussi analysé, brièvement, à travers la documentation
officielle et les matrices curriculaires, le contenu juridique offert par les Cours de Droit au
Brésil, dont l'objectif est d'offrir une formation humaniste, axiologique aux futurs
professionnels, en plus la possibilité de réaliser une prise de position idéologique, au sens
juridique, et leur fournir une condition plus favorable pour que, face à son historicité, puisse
déstabiliser, ou non, certains dires qui sont en conflit avec la formation juridique. La
méthodologie utilisée sera l'utilisation d'un apport théorique, c'est-à-dire, une recherche de
nature bibliographique, descriptive et de champ, de caractère qualitatif, avec l'utilisation d'un
script d'entretien semi-structurés. On va démontrér que tels dires sont présents dans la
formation discursive des étudiants, pour diverses situations, parmi elles la présence d'un
archétype primordial situé dans l'inconscient collectif de l'humanité, et qui se subdivise en
plusieurs autres archétypes, c’est-à-dire, une idée ou modèle de pensée capable d'être prononcé
dans les coins les plus variés de la terre, puisque l'archétype a une nature ancestrale. La figure
archétypique, une fois installée dans l'inconscient collectif de l'humanité, qui se manifeste dans
l'inconscient individuel sous la forme d'idées ou modèles de comportement, en fonction du
contenu avec de telles idées, le principe de nature commune, se remplissent avec certaines
caractéristiques ou des concepts particuliers. Ainsi, on va démontrer que l'idée d'un archétype
patriarcal et d’un autre, religieux, dominent l'inconscient collectif et, par conséquent,
l'inconscient individuel, en gagnant des caractéristiques sexiste, hétéronormatives et
homophobes, qui se manifeste dans le discours social, à partir de l'historicité des sujets, qui sont
constitués par le langage. Une fois que les individus sont dépourvus de volonté par les
conditions de production, ceux-ci ont leur formation initiale en archétypes, et, dans la présente
recherche, les archétypes patriarcales et religieuses, qui conduisent la constitution des discours
sexistes, homophobes et hétéronormatives. De tels discours sont cristallisés dans l'inconscient
collectif de l'humanité, car il est possible de trouver des documents des paroles et, par
conséquent, le comportement machiste, androcentrique, hétéronormatives et homophobes dans
presque toutes les cultures du monde, dans plusieurs époques. Même en étudiant des disciplines,
dont le contenu cherche la formation d'un professionnel de Droit tourné vers les questions
humanistes et axiologiques, qui devrait prévaloir un discours émancipateur qui vise la
protection des droits fondamentaux et la garantie de dignité de la personne humaine, ces sujets
sont constitués par un croisement discoursif précédent, c’est-à-dire, une formation discursive
sexiste, androcentrique, hétéronormatif et homophobe, ce qui rend extrêmement difficile sa
déconstruction en classe. En utilisant l’inter(trans)disciplinarité entre les champs de l’histoire,
de l’archéologie, de l’anthropologie, de la sociologie, de la psychanalyse freudo-lacaniennejungienne, du droit et de l’analyse du discours de ligne peucheutienne française, on va
démontrer que telles discursivités en prenant comme base matérielle des scènes énonciatives
recueillies lors des interviews réalisées auprès des étudiants de la dernière année du cours de
droit, afin de visualiser ces contenus archétypaux de caractéristiques sexistes, androcentriques,
hétéronormatives et homophobes dans leurs dires. |